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La déscolarisation, un fléau social

D’après un rapport récent de l’Unicef pas moins de 100.000 élèves de 6 à 16 ans se sont déscolarisés en Tunisie, soit 5,2% de la population totale d’élèves rien qu’en 2012.
Le nombre d’élèves qui quittent les bancs de l’école risque de s’aggraver dans les années à venir.
Les principales causes sont la pauvreté extrême, l’éloignement des écoles et la détérioration des infrastructures. Ce fléau aboutit à des conséquences graves sur l’équilibre du pays: le chômage, la délinquance et l’immigration clandestine.

Les enfants, premières victimes

Si rien n’est fait, ce sont des milliers d’enfants qui seront injustement privés d’un de leurs droits des plus légitimes: être scolarisés dans des conditions acceptables.
Mais les ravages de la pauvreté ne s’arrêtent pas là. Malnutrition, froid, maladies et délinquance touchent en priorité ces enfants. Plus la situation socio-économique de la famille est précaire plus la détresse psychologique, le retard dans le cheminement scolaire et le taux d’hospitalisation des enfants dans un état grave et avancé est élevée.

La pauvreté en Tunisie, une situation alarmante

Selon un rapport réalisé en juin 2013 sous la haute direction de l’Institut National Tunisien de la Statistique en collaboration avec la Banque Africaine de Développement, près de 25% de la population tunisienne vit sous le seuil de pauvreté et 11,5% de la population, soit 1,2 millions de Tunisiens, vit sous le seuil de pauvreté extrême.
Ce qui est d’autant plus choquant est que le taux de pauvreté dans les régions intérieures s’élève à 35%. Ce qui implique qu’un tunisien sur 3 vit au-dessous du seuil de pauvreté dans ces régions.
Les évènements récents connus en Tunisie ne semblent guère avoir changé la donne. Le taux de chômage actuels avoisinerait les 16%.

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